Claude Vaillancourt est parmi les personnes interviewées dans cet article paru sur le site de Ricochet.
Extrait : « Pour Claude Vaillancourt, président de l’organisation altermondialiste Attac Québec, ces clauses de règlements des différends constituent une atteinte à la démocratie. À son avis, ces mesures fournissent même une arme puissante pour les lobbyistes des multinationales : ¨La simple menace de poursuite peut faire en sorte qu’un gouvernement revienne sur un projet de loi en chantier, soutenait-il en entrevue avec Ricochet. Ces clauses permettent carrément aux entreprises de contrôler l’agenda législatif des gouvernements.¨ Alexandre Maltais, chercheur à l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), défend une position similaire : ¨Je suis d’avis que ces dispositions portant sur l’investissement créent un déséquilibre entre les droits des investisseurs et le devoir, des États souverains, de protéger le bien commun.¨»
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