«« Le Québec peut signer ses propres conventions fiscales ». La militante d’Attac croit aussi que nous pouvons utiliser nos institutions publiques comme levier de changement : « En tant que propriétaire de la Caisse de dépôt nous devons exiger d’elle qu’elle mette de la pression sur les entreprises dans lesquelles elle investit, si elle les sait avoir des entités dans les paradis fiscaux »».
Wedad Antonius, militante d’Attac Québec, lors de la soirée du 21 mai dernier sur les paradis fiscaux, organisée par Génération nationale, avec Alain Deneault et Gabriel Ste-Marie. Lire l’article « La mondialisation nous impose de réinventer l’État québécois» qui rend compte de cette soirée dans L’aut’journal.
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