On en a fait tout au plus un entrefilet dans les pages égarées de quelques journaux. L’information révèle pourtant la tendance contemporaine à une intégration des régimes politiques dits démocratiques et ceux d’États de complaisance de type offshore. Ainsi, la Bourse de Toronto (TMX), qui est au cœur d’un processus faisant de la législation canadienne un havre réglementaire et financier pour l’industrie extractive mondiale, devient l’actionnaire principal de la Bourse des Bermudes (BSX), un paradis fiscal notoire et hautement controversé. Lire la suite de ce texte d’Alain Deneault, publié dans Le Devoir du 28 décembre 2011
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