Dans cette lettre ouverte publiée dans Le Devoir, Claude Vaillancourt, président d’Attac Québec, s’interroge au sujet du Forum économique mondial de Davos. Il pose entre autres cette question : «La transition écologique pourra-t-elle se faire en maintenant les mêmes hiérarchies, en permettant aux immenses entreprises transnationales de conserver le pouvoir sans partage qu’elles détiennent? C’est le pari que semble tenir le Forum économique de Davos. C’est aussi celui de nos gouvernements qui, dans les derniers accords commerciaux qu’ils ont négociés, rendent de plus en plus difficile la règlementation du commerce international. Le pari est donc que les entreprises sauront s’auto-règlementer, choisir des comportements qui iront dans le sens du bien commun, ne serait-ce que parce qu’elles pourront ainsi réaliser d’importants profits. Le risque est considérable pour l’ensemble de la société.» Lire la suite. Ce texte a aussi été publié dans le Journal des Alternatives.
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