«La gauche s’est toujours opposée avec force aux accords de libre-échange. Autant le mouvement altermondialiste que des politiciens comme Bernie Sanders, Paul Magnette et Benoît Hamon ont dénoncé les méfaits de ces ententes conçues en secret dans l’intérêt des entreprises transnationales. Pourtant, la charge la plus puissante contre le libre-échange est venue de là où on ne l’attendait pas. Donald Trump, président républicain des États-Unis, voudrait aujourd’hui tout remettre en cause. Faut-il s’en réjouir ou s’en désoler ? (…) en opposant un protectionnisme étroit à un libre-échange qui refuse de se réformer, on semble actuellement faire l’économie d’un véritable débat sur ce que doit être le commerce international, sur ses limites et sur la façon dont l’économie pourrait profiter à l’ensemble des populations.»
Lire la suite de cette lettre ouverte de Claude Vaillancourt, président d’Attac Québec et auteur de L’empire du libre-échange (M Éditeur), sur le site du Devoir.
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