La COP15 à Montréal qui vient tout juste de se terminer a été marquée par les tensions entre les pays du Nord et du Sud, entre les représentants du mouvement social et les lobbyistes des grandes entreprises.
Claude Vaillancourt, représentant du Front commun sur la transition énergétique et président d’Attac Québec, qui était présent sur place pour suivre le cours de cette importante COP, nous livre ici son analyse et ses impressions de cet événement majeur.
«Pendant la Conférence de l’ONU sur la biodiversité (COP15), on a pu entendre une litanie de beaux discours expliquant toute l’importance de la biodiversité et l’urgente nécessité de la protéger. Mais quand il s’agit d’allonger des sous pour y arriver, le ton change. Le système financier s’accorde encore très mal avec la nécessité de protéger l’environnement. L’un des enjeux les plus discutés, à juste titre, a été le financement nécessaire du nouveau cadre mondial pour protéger la biodiversité, les pays développés étant fortement réticents à trouver les sommes nécessaires pour compenser les dégâts qu’ils ont faits dans les pays du Sud.»
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