Les grands médias, les dirigeants européens ont ouvertement menacé le peuple grec du chaos pour promouvoir la « Nouvelle Démocratie », qui remporte de peu les élections législatives en Grèce. (…) On a voulu faire croire que la gauche alternative grecque, représentée par Syriza, était hostile à l’euro. Bien au contraire, ses propositions sont les seules à même de sortir la Grèce et la zone euro de la crise…
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